Mot du Président

« Le vrai savoir se trouve au carrefour des disciplines » Zhenan Bao. Cette citation est l’expression parfaite de la raison de l’organisation de AKI SAS et de sa forme : ces différentes expertises prises singulièrement ne sont pas efficientes pour des entreprises, mais lorsqu’elles sont réunies sous une même coordination, les rendements individuels et consolidés sont décuplés.
L’allégorie de « l’œuf de Colomb » tempèrera les questions suspicieuses sur la raison pour laquelle une idée aussi simple et basique d’agrégation n’avait pas déjà traversé l’esprit de nos prédécesseurs des différentes disciplines respectives de notre cabinet.
Le postulat du « matérialisme historique » de Karl Marx est un instrument philosophique usuel de notre fonctionnement, il nous a permis de définir une méthode de travail grâce à laquelle les vraies raisons des problèmes sont identifiées.
« Si quelqu’un se contente d’enseigner, c’est que l’action l’a dépassé et réciproquement, si quelqu’un se contente de pratiquer, c’est que l’enseignement (la transmission des savoirs) l’a dépassé » Thomas Jefferson. L’enseignement après la pratique est la preuve que le savoir a été éprouvé, mâturé, maîtrisé, configuré et structuré. La formation permet de peaufiner, d’optimiser et de perfectionner les pratiques, pendant que la pratique permet d’épurer l’enseignement.
« On ne sort de l’ambiguïté qu’à son propre détriment » Cardinal de Retz. La difficulté des organisations économiques et humanitaires est la fuite de la recherche, de l’analyse à cause des coûts supplémentaires (humains, financiers, administratifs, généraux et logistiques) d’une part et de la peur des faits scientifiques d’autre part. Elles préfèrent se contenter des résultats qu’elles obtiennent, du moment où il y a une survivance de leur activité. Or, avec la mondialisation, il sera quasiment impossible d’être viable sans faire appel à ces compétences d’intelligence.